mercredi 5 février 2014

Meditation’s Effects on Alpha Brain Waves

Meditation’s Effects on Alpha Brain Waves

A new study out of Brown University has found that a form of mindfulness meditation known as MBSR may act as a “volume knob” for attention, changing brain wave patterns. What is MBSR? Originally developed by a professor at the University of Massachusetts Medical School, mindfulness based stress reduction (MBSR) is based on mindfulness meditation techniques that have been practiced in some form or another for over two millennia. The 8-week MBSR program still follows some of the same principles of the original Buddhist practice, training followers to focus a “spotlight of attention” on different parts of their body. Eventually, it is hoped, practitioners learn to develop the same awareness of their mental states. In the last 20 years, MBSR and a similar practice called mindfulness based cognitive therapy (MBCT) have been included in an increasing number of healthcare plans in the developed world. Some studies have shown that these practices can reduce distress in individuals chronic pain and decrease risk of relapses into depression. In this study, Brown University researchers wanted to investigate whether MBSR could have a broader application beyond the clinical realm. Could MBSR impact the alpha brain waves that help filter and organize sensory inputs, improving attentional control? Study design Researchers divided the study’s 12 healthy adult participants into two groups: a test group that underwent MBSR training for 8 weeks, and a control group that did not. After 8 weeks, a brain imaging technique known as magnetoencephalography (MEG) was used to measure alpha wave patterns in participants. While hooked up to the brain scanning equipment, participants were tapped on their hands and feet at random intervals. On average, those who trained with MBSR demonstrated faster and greater alpha wave changes in response to these taps. How alpha waves affect cognition Alpha rhythms help filter irrelevant sensory inputs in the brain. Without proper filtering, the ability to carry out many basic cognitive operations can be crippled. Imagine the simple task of backing a car out of the driveway. In order to reach the street safely, you must hold your destination in mind while steering and ignoring distractions from every modality: news on the radio, children playing at the end of the block, an itch on your foot, the glare of the sun in your eyes. Most people filter out these distractions subconsciously — but should irrelevant stimuli distract you, backing out can become a difficult ordeal. This Brown University study is in line with other research on meditation, confirming previous findings that link enhanced attentional performance and fewer errors in tests of visual attention with meditation. While it’s still too early to declare meditation a cure-all for everything from attentional control to chronic pain, it’ll be fascinating to see what future research uncovers about this millennia-old tradition’s impact on the brain. - See more at: http://blog.lumosity.com/meditation2/#sthash.wwtaWQDC.fOJnaswg.dpuf

lundi 23 décembre 2013

Changer la perception des choses

Bien des gens désirent changer leur perception des choses, mais ils ne savent pas comment s’y prendre.
La façon la plus rapide de modifier votre perception des événements, c’est de changer les pensées sur lesquelles vous vous concentrez. Si vous vouliez vous sentir déprimé à l’instant même, cela serait super simple à faire n’est-ce-pas ? Tout ce que vous devez faire c’est penser à un événement douloureux de votre passé, et de concentrer toute votre attention sur cette pensée. En y pensant assez longtemps, vous vous sentirez à nouveau déprimé, comme quand l’événement s’est produit naguère.
Cette expérience démontre clairement qu’il est très facile de se laisser aller à des sentiments négatifs.
Et nous le faisons parfois, ce qui est parfaitement idiot ! Réfléchissez 2 secondes, regarderiez-vous le même film minable plusieurs fois de suite ? Certainement pas ! Alors pourquoi continuer à regarder de mauvais films dans votre esprit ?
En revanche, si vous vouliez éprouver immédiatement un sentiment de bien-être, cela vous serait tout aussi facile, n’est-ce-pas ? Vous pourriez vous concentrer sur un événement qui vous a rendu heureux (un anniversaire, la naissance d’un enfant, par exemple), qui vous a fait éprouver des sentiments positifs à l’égard de votre famille, de vos amis, ou envers vous-même.
Vous comprenez maintenant à quel point il est important de contrôler les pensées sur lesquelles vous vous concentrez. Même si vous vivez des moments pénibles, vous devez vous concentrer sur ce que vous pouvez faire, sur ce que vous pouvez contrôler.
En conclusion, FOCALISEZ VOTRE ATTENTION DANS LA BONNE DIRECTION.

mercredi 4 décembre 2013

MILLE BILLES

Billes









Plus je vieillis, plus j’apprécie les samedis matin. C’est peux-être à cause de la quiétude d’être le premier à se lever, ou la joie de ne pas être au travail. En tous cas, les premières heures du samedi sont très agréables.
Il y a quelques semaines, j’étais tranquille, une tasse de café dans une main et le journal du matin dans l’autre. Ce qui avait commencé comme un samedi ordinaire devint une de ces leçons que la vie semble nous offrir de temps en temps.
J’allumai la radio et tombai sur une émission où les auditeurs appellent la station pour discuter. Et là, je tombe sur la voix d’un type âgé, mais plein d’énergie. Il racontait quelque chose au sujet « des mille billes ».
Je fus intrigué et m’arrêtai pour écouter. « Eh bien, Tom, tu sembles être très occupé au travail. Je suis sûr qu’ils te payent bien mais c’est dommage que tu doives demeurer si longtemps loin de ta maison et de ta famille. C’est dur à croire qu’un jeune homme doive travailler soixante heures par semaine pour joindre les deux bouts. Et c’est malheureux que tu manques le récital de ta fille. »
Il poursuivit « Laisse-moi te dire quelque chose, Tom, quelque chose qui m’a aidé à garder une bonne perspective sur mes priorités. » Et c’est alors qu’il commença à expliquer sa théorie des « mille billes ».
« Tu vois, un jour je me suis assis et j’ai fait mes petits calculs. En moyenne, une personne vit environ soixante-quinze ans. Je sais, certaines personnes vivent plus longtemps et d’autres moins longtemps, mais en moyenne, les gens vivent autour de soixante-quinze ans. »
« Maintenant si je multiplie 75 par 52 pour obtenir le nombre de samedis qu’une personne moyenne a durant toute sa vie, j’arrive à 3 900. Reste avec moi Tom, j’en arrive à la partie importante. »
« Ça m’a pris cinquante-cinq ans de ma vie pour penser à tout cela dans le détail, » poursuivit-il, « et à ce moment-là j’avais vu plus de deux mille huit cents samedis défiler. J’en suis venu alors à penser que si je vivais jusqu’à soixante-quinze ans, il me restait environ seulement 1 000 samedis à vivre et à apprécier. »
« Alors je me rendis dans un magasin de jouets et j’achetai toutes les billes qu’il y avait. J’ai dû faire trois magasins de jouets avant de pouvoir réunir 1000 billes. Je les apportai à la maison et les plaçai dans un grand pot transparent, juste ici devant la fenêtre. Depuis ce temps, chaque samedi, j’enlève une des billes du pot et je la donne à un enfant du quartier. »
« Et je me suis rendu compte qu’en voyant mes billes diminuer, je me concentrais davantage sur les choses réellement importantes dans la vie. Il n’y a rien de mieux que de surveiller votre temps sur cette terre s’en aller pour vous aider à établir clairement vos priorités. »
« Maintenant laisse-moi te dire une dernière chose avant de te quitter et d’emmener ma charmante épouse au restaurant. Ce matin, j’ai enlevé la dernière bille du pot. Je suppose que si je peux aller jusqu’à samedi prochain, alors la vie m’aura fait cadeau d’un peu plus de temps. Et s’il est une chose que nous pouvons tous utiliser, c’est bien ce petit plus de temps. »
« Ça m’a fait plaisir de te parler, Tom. J’espère que tu passeras plus de temps avec ta famille et j’espère avoir le plaisir de te parler à nouveau. »
On aurait pu entendre une épingle tomber sur le sol quand ce type nous a dit au revoir. Et j’imagine qu’il a donné à réfléchir à beaucoup de monde.
Ce matin-là, j’avais prévu de travailler sur mon antenne de toit. Au lieu de cela, je montai l’escalier et réveillai mon épouse avec un baiser.
- Viens-t-en mon amour, je vous emmène, toi et les enfants, déjeuner au restaurant.
- Pourquoi ça ? demanda-t-elle avec un sourire.
- Oh, rien de spécial, c’est juste que ça fait un bon moment qu’on n’a pas passé un samedi ensemble avec les enfants. Hé, pouvons-nous nous arrêter à un magasin de jouets en passant ? Je voudrais acheter quelques billes.

lundi 11 novembre 2013

Mettons-nous nos priorités au bon endroit ?


Le pêcheur et le financier

PecheurAu bord de l’eau, dans un petit village côtier mexicain, un bateau rentre au port, ramenant plusieurs thons dans son bateau.
Un américain qui se trouvait là complimente alors le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer :
- Oh, pas très longtemps, répond le Mexicain.
- Mais alors, pourquoi n’êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ? demande l’américain.
Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffisent amplement à subvenir aux besoins de sa famille.
L’américain lui demande alors :
- Mais que faites-vous le reste du temps ?
- Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin, chantons et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie.
L’Américain l’interrompt : « J’ai un MBA de l’université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers.
Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d’où vous dirigeriez toutes vos affaires. »
Le Mexicain demande alors :
- Combien de temps cela prendrait-il ?
- 15 à 20 ans, répond le banquier américain.
- Et après ?
- Après, c’est là que ça devient intéressant, répond l’américain en riant. Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions.
- Des millions ? Mais après ?
- Après, vous pourrez vous retirer, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos petits-enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire, à chanter et à jouer de la guitare avec vos amis.
Et nous ? Ne sommes-nous pas comme ce financier, parfois ?
À perdre notre vie à la gagner, alors qu’il suffirait de savourer le moment présent, profiter des choses simples et des petits plaisirs de la vie…
Mettons-nous nos priorités au bon endroit ?

lundi 14 octobre 2013

François Garagnon – « Les pensées revigorantes »


N'ayez pas peur de vos rêves !


Si un projet vous paraît fou, abstenez-vous de le disqualifier d’emblée.
Accordez-lui de l’attention, efforcez-vous de le redimensionner, de le réajuster au besoin, mais respectez-le. Rien n’est plus triste qu’un rêve possible qui se heurte au mur de la trop sage raison !
Tout ce qui s’est fait de grand dans ce monde est né d’une passion.
Ainsi, ne dites jamais à un jeune : « Arrête de rêver ! »
En revanche, conduisez-le à (ré)orienter son rêve, à le calibrer, à l’adapter à la réalité, à le rendre pragmatique et actif.
On n’a pas idée du nombre de bonnes idées, de grands rêves qui n’aboutissent pas, non parce qu’ils étaient utopiques ou insensés, mais parce qu’ils n’ont pas bénéficié du vent de faveur d’un entourage prompt à l’optimisme !
L’initiateur d’un bon projet doit toujours trouver à un moment sur sa route des personnes qui y croient avec la même intensité que lui.
C’est ainsi et seulement ainsi, que les choses se font et que les grands rêves peuvent aboutir.

mercredi 25 septembre 2013

Quinze habitudes que les gens heureux n’ont pas, par Mylène Vandecasteele

Dans notre quête du bonheur, nous mettons nous-mêmes des obstacles sur notre propre chemin.
Elite Daily a énuméré 15 habitudes que les gens peuvent avoir, et qui ruinent leur propre bonheur :

✔ Le commérage. Si vous êtes heureux avec votre propre vie, pourquoi se soucier de ce qui se passe chez les autres ? La seule chose que cette habitude produit, c’est de vous donner l’air piteux et jaloux.


✔ Se mêler des problèmes des autres. Les gens qui ne peuvent pas s’empêcher d’interférer avec les affaires des autres le font souvent parce qu’ils souffrent du vide de leur existence, qu’ils cherchent à combler de cette manière.


✔ Penser négativement. Certains passent leur temps à se plaindre de tout et de tout le monde, tandis que d’autres, plus optimistes, voient toujours le verre à moitié plein. Se concentrer sur le positif permet de se sentir heureux.


✔ La jalousie. Les gens heureux ne se comparent pas avec les autres parce qu’ils se satisfont de ce qu’ils ont et ils prennent du plaisir à célébrer les réussites de leurs amis.


✔ Rechercher l’approbation des autres. Les gens heureux n’ont pas besoin que les autres leur reconfirment leur valeur personnelle. Ils savent ce qu’ils valent et ils ne se soumettent pas aux attentes des autres, ce qui leur permet de se concentrer sur leur développement personnel.


✔ La vengeance. Au lieu de chercher la vengeance, les gens heureux essayent de solutionner le problème et de l’oublier. La meilleure vengeance est de vivre une bonne vie.


✔ Garder du ressentiment. La seule chose que l’on gagne avec le ressentiment, c’est l’augmentation de sa propre tristesse. Apprenez à lâcher prise, spécialement pour les choses que vous ne pouvez pas changer, et qui appartiennent au passé.


✔ Vouloir avoir raison à tout prix. Exposez votre point de vue de manière respectueuse et écoutez celui des autres. En discutant indéfiniment pour essayer de convaincre les autres, vous ne faites que tenter de redorer votre ego. Cessez d’imposer votre point de vue, ou de croire que vous savez mieux que les autres : chacun vient de quelque part.


✔ Avoir des attentes sur les autres. Un des plus grands défis de l’existence est d’accepter les gens tels qu’ils sont réellement. Vous vous sentirez plus serein lorsque vous comprendrez que vous ne pouvez pas changer les gens.


✔ Ignorer les problèmes personnels. Seuls les gens malheureux ignorent les problèmes quand ils surviennent. Malheureusement, plus vous ignorez le problème, et plus il devient important.


✔ Croire que le bonheur est ailleurs. Le vrai bonheur est ici et en vous. Vous seul avez le pouvoir de voir les choses sous un angle positif. Aucune possession matérielle ou relation humaine ne peut vous rendre heureux si vous n’êtes pas déjà satisfait avec vous-même.


✔ Trop réfléchir. L’excès de réflexion produit des problèmes à partir de rien et mène à des désaccords entre les personnes. Sur-analyser les situations et les événements ne conduit qu’à produire du stress et de l’anxiété, et jamais de décisions rationnelles.


✔ Vivre dans le passé. Le passé est le passé et vous pouvez plus changer quoi que ce soit. C’est dans le présent et l’avenir que l’on peut construire son bonheur.


✔ Suivre le troupeau. Les gens heureux ont confiance en eux. Ils ne sont pas des suiveurs, mais plutôt des guides.


✔ Prendre les choses personnellement. Lorsqu’une personne vous adresse un commentaire, sachez prendre du recul, et éviter de sur-analyser ce qu’elle vient de dire, mais laissez-la plutôt expliquer sont point de vue. C’est à vous de décider comment vous interprétez la critique. Pensez à ce que vous pourriez apprendre en examinant les choses sous un angle différent du vôtre, lorsque vous considérez que les critiques sont constructives.

samedi 21 septembre 2013

NELSON MANDELA NOUS DIT...

Nelson Mandela
Nelson Mandela, emprisonné pendant vingt-cinq ans comme opposant au régime de l’apartheid, nous dit:

"La rancune est un poison que l'on boit soi-même en espérant que l'autre va en mourir"


Et aussi, plus tard :

"Tout parait toujours impossible, jusqu'à ce que ce soit fait"



Nelson Mandela