lundi 23 décembre 2013

Changer la perception des choses

Bien des gens désirent changer leur perception des choses, mais ils ne savent pas comment s’y prendre.
La façon la plus rapide de modifier votre perception des événements, c’est de changer les pensées sur lesquelles vous vous concentrez. Si vous vouliez vous sentir déprimé à l’instant même, cela serait super simple à faire n’est-ce-pas ? Tout ce que vous devez faire c’est penser à un événement douloureux de votre passé, et de concentrer toute votre attention sur cette pensée. En y pensant assez longtemps, vous vous sentirez à nouveau déprimé, comme quand l’événement s’est produit naguère.
Cette expérience démontre clairement qu’il est très facile de se laisser aller à des sentiments négatifs.
Et nous le faisons parfois, ce qui est parfaitement idiot ! Réfléchissez 2 secondes, regarderiez-vous le même film minable plusieurs fois de suite ? Certainement pas ! Alors pourquoi continuer à regarder de mauvais films dans votre esprit ?
En revanche, si vous vouliez éprouver immédiatement un sentiment de bien-être, cela vous serait tout aussi facile, n’est-ce-pas ? Vous pourriez vous concentrer sur un événement qui vous a rendu heureux (un anniversaire, la naissance d’un enfant, par exemple), qui vous a fait éprouver des sentiments positifs à l’égard de votre famille, de vos amis, ou envers vous-même.
Vous comprenez maintenant à quel point il est important de contrôler les pensées sur lesquelles vous vous concentrez. Même si vous vivez des moments pénibles, vous devez vous concentrer sur ce que vous pouvez faire, sur ce que vous pouvez contrôler.
En conclusion, FOCALISEZ VOTRE ATTENTION DANS LA BONNE DIRECTION.

mercredi 4 décembre 2013

MILLE BILLES

Billes









Plus je vieillis, plus j’apprécie les samedis matin. C’est peux-être à cause de la quiétude d’être le premier à se lever, ou la joie de ne pas être au travail. En tous cas, les premières heures du samedi sont très agréables.
Il y a quelques semaines, j’étais tranquille, une tasse de café dans une main et le journal du matin dans l’autre. Ce qui avait commencé comme un samedi ordinaire devint une de ces leçons que la vie semble nous offrir de temps en temps.
J’allumai la radio et tombai sur une émission où les auditeurs appellent la station pour discuter. Et là, je tombe sur la voix d’un type âgé, mais plein d’énergie. Il racontait quelque chose au sujet « des mille billes ».
Je fus intrigué et m’arrêtai pour écouter. « Eh bien, Tom, tu sembles être très occupé au travail. Je suis sûr qu’ils te payent bien mais c’est dommage que tu doives demeurer si longtemps loin de ta maison et de ta famille. C’est dur à croire qu’un jeune homme doive travailler soixante heures par semaine pour joindre les deux bouts. Et c’est malheureux que tu manques le récital de ta fille. »
Il poursuivit « Laisse-moi te dire quelque chose, Tom, quelque chose qui m’a aidé à garder une bonne perspective sur mes priorités. » Et c’est alors qu’il commença à expliquer sa théorie des « mille billes ».
« Tu vois, un jour je me suis assis et j’ai fait mes petits calculs. En moyenne, une personne vit environ soixante-quinze ans. Je sais, certaines personnes vivent plus longtemps et d’autres moins longtemps, mais en moyenne, les gens vivent autour de soixante-quinze ans. »
« Maintenant si je multiplie 75 par 52 pour obtenir le nombre de samedis qu’une personne moyenne a durant toute sa vie, j’arrive à 3 900. Reste avec moi Tom, j’en arrive à la partie importante. »
« Ça m’a pris cinquante-cinq ans de ma vie pour penser à tout cela dans le détail, » poursuivit-il, « et à ce moment-là j’avais vu plus de deux mille huit cents samedis défiler. J’en suis venu alors à penser que si je vivais jusqu’à soixante-quinze ans, il me restait environ seulement 1 000 samedis à vivre et à apprécier. »
« Alors je me rendis dans un magasin de jouets et j’achetai toutes les billes qu’il y avait. J’ai dû faire trois magasins de jouets avant de pouvoir réunir 1000 billes. Je les apportai à la maison et les plaçai dans un grand pot transparent, juste ici devant la fenêtre. Depuis ce temps, chaque samedi, j’enlève une des billes du pot et je la donne à un enfant du quartier. »
« Et je me suis rendu compte qu’en voyant mes billes diminuer, je me concentrais davantage sur les choses réellement importantes dans la vie. Il n’y a rien de mieux que de surveiller votre temps sur cette terre s’en aller pour vous aider à établir clairement vos priorités. »
« Maintenant laisse-moi te dire une dernière chose avant de te quitter et d’emmener ma charmante épouse au restaurant. Ce matin, j’ai enlevé la dernière bille du pot. Je suppose que si je peux aller jusqu’à samedi prochain, alors la vie m’aura fait cadeau d’un peu plus de temps. Et s’il est une chose que nous pouvons tous utiliser, c’est bien ce petit plus de temps. »
« Ça m’a fait plaisir de te parler, Tom. J’espère que tu passeras plus de temps avec ta famille et j’espère avoir le plaisir de te parler à nouveau. »
On aurait pu entendre une épingle tomber sur le sol quand ce type nous a dit au revoir. Et j’imagine qu’il a donné à réfléchir à beaucoup de monde.
Ce matin-là, j’avais prévu de travailler sur mon antenne de toit. Au lieu de cela, je montai l’escalier et réveillai mon épouse avec un baiser.
- Viens-t-en mon amour, je vous emmène, toi et les enfants, déjeuner au restaurant.
- Pourquoi ça ? demanda-t-elle avec un sourire.
- Oh, rien de spécial, c’est juste que ça fait un bon moment qu’on n’a pas passé un samedi ensemble avec les enfants. Hé, pouvons-nous nous arrêter à un magasin de jouets en passant ? Je voudrais acheter quelques billes.

lundi 11 novembre 2013

Mettons-nous nos priorités au bon endroit ?


Le pêcheur et le financier

PecheurAu bord de l’eau, dans un petit village côtier mexicain, un bateau rentre au port, ramenant plusieurs thons dans son bateau.
Un américain qui se trouvait là complimente alors le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer :
- Oh, pas très longtemps, répond le Mexicain.
- Mais alors, pourquoi n’êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ? demande l’américain.
Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffisent amplement à subvenir aux besoins de sa famille.
L’américain lui demande alors :
- Mais que faites-vous le reste du temps ?
- Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin, chantons et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie.
L’Américain l’interrompt : « J’ai un MBA de l’université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers.
Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d’où vous dirigeriez toutes vos affaires. »
Le Mexicain demande alors :
- Combien de temps cela prendrait-il ?
- 15 à 20 ans, répond le banquier américain.
- Et après ?
- Après, c’est là que ça devient intéressant, répond l’américain en riant. Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions.
- Des millions ? Mais après ?
- Après, vous pourrez vous retirer, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos petits-enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire, à chanter et à jouer de la guitare avec vos amis.
Et nous ? Ne sommes-nous pas comme ce financier, parfois ?
À perdre notre vie à la gagner, alors qu’il suffirait de savourer le moment présent, profiter des choses simples et des petits plaisirs de la vie…
Mettons-nous nos priorités au bon endroit ?

lundi 14 octobre 2013

François Garagnon – « Les pensées revigorantes »


N'ayez pas peur de vos rêves !


Si un projet vous paraît fou, abstenez-vous de le disqualifier d’emblée.
Accordez-lui de l’attention, efforcez-vous de le redimensionner, de le réajuster au besoin, mais respectez-le. Rien n’est plus triste qu’un rêve possible qui se heurte au mur de la trop sage raison !
Tout ce qui s’est fait de grand dans ce monde est né d’une passion.
Ainsi, ne dites jamais à un jeune : « Arrête de rêver ! »
En revanche, conduisez-le à (ré)orienter son rêve, à le calibrer, à l’adapter à la réalité, à le rendre pragmatique et actif.
On n’a pas idée du nombre de bonnes idées, de grands rêves qui n’aboutissent pas, non parce qu’ils étaient utopiques ou insensés, mais parce qu’ils n’ont pas bénéficié du vent de faveur d’un entourage prompt à l’optimisme !
L’initiateur d’un bon projet doit toujours trouver à un moment sur sa route des personnes qui y croient avec la même intensité que lui.
C’est ainsi et seulement ainsi, que les choses se font et que les grands rêves peuvent aboutir.

mercredi 25 septembre 2013

Quinze habitudes que les gens heureux n’ont pas, par Mylène Vandecasteele

Dans notre quête du bonheur, nous mettons nous-mêmes des obstacles sur notre propre chemin.
Elite Daily a énuméré 15 habitudes que les gens peuvent avoir, et qui ruinent leur propre bonheur :

✔ Le commérage. Si vous êtes heureux avec votre propre vie, pourquoi se soucier de ce qui se passe chez les autres ? La seule chose que cette habitude produit, c’est de vous donner l’air piteux et jaloux.


✔ Se mêler des problèmes des autres. Les gens qui ne peuvent pas s’empêcher d’interférer avec les affaires des autres le font souvent parce qu’ils souffrent du vide de leur existence, qu’ils cherchent à combler de cette manière.


✔ Penser négativement. Certains passent leur temps à se plaindre de tout et de tout le monde, tandis que d’autres, plus optimistes, voient toujours le verre à moitié plein. Se concentrer sur le positif permet de se sentir heureux.


✔ La jalousie. Les gens heureux ne se comparent pas avec les autres parce qu’ils se satisfont de ce qu’ils ont et ils prennent du plaisir à célébrer les réussites de leurs amis.


✔ Rechercher l’approbation des autres. Les gens heureux n’ont pas besoin que les autres leur reconfirment leur valeur personnelle. Ils savent ce qu’ils valent et ils ne se soumettent pas aux attentes des autres, ce qui leur permet de se concentrer sur leur développement personnel.


✔ La vengeance. Au lieu de chercher la vengeance, les gens heureux essayent de solutionner le problème et de l’oublier. La meilleure vengeance est de vivre une bonne vie.


✔ Garder du ressentiment. La seule chose que l’on gagne avec le ressentiment, c’est l’augmentation de sa propre tristesse. Apprenez à lâcher prise, spécialement pour les choses que vous ne pouvez pas changer, et qui appartiennent au passé.


✔ Vouloir avoir raison à tout prix. Exposez votre point de vue de manière respectueuse et écoutez celui des autres. En discutant indéfiniment pour essayer de convaincre les autres, vous ne faites que tenter de redorer votre ego. Cessez d’imposer votre point de vue, ou de croire que vous savez mieux que les autres : chacun vient de quelque part.


✔ Avoir des attentes sur les autres. Un des plus grands défis de l’existence est d’accepter les gens tels qu’ils sont réellement. Vous vous sentirez plus serein lorsque vous comprendrez que vous ne pouvez pas changer les gens.


✔ Ignorer les problèmes personnels. Seuls les gens malheureux ignorent les problèmes quand ils surviennent. Malheureusement, plus vous ignorez le problème, et plus il devient important.


✔ Croire que le bonheur est ailleurs. Le vrai bonheur est ici et en vous. Vous seul avez le pouvoir de voir les choses sous un angle positif. Aucune possession matérielle ou relation humaine ne peut vous rendre heureux si vous n’êtes pas déjà satisfait avec vous-même.


✔ Trop réfléchir. L’excès de réflexion produit des problèmes à partir de rien et mène à des désaccords entre les personnes. Sur-analyser les situations et les événements ne conduit qu’à produire du stress et de l’anxiété, et jamais de décisions rationnelles.


✔ Vivre dans le passé. Le passé est le passé et vous pouvez plus changer quoi que ce soit. C’est dans le présent et l’avenir que l’on peut construire son bonheur.


✔ Suivre le troupeau. Les gens heureux ont confiance en eux. Ils ne sont pas des suiveurs, mais plutôt des guides.


✔ Prendre les choses personnellement. Lorsqu’une personne vous adresse un commentaire, sachez prendre du recul, et éviter de sur-analyser ce qu’elle vient de dire, mais laissez-la plutôt expliquer sont point de vue. C’est à vous de décider comment vous interprétez la critique. Pensez à ce que vous pourriez apprendre en examinant les choses sous un angle différent du vôtre, lorsque vous considérez que les critiques sont constructives.

samedi 21 septembre 2013

NELSON MANDELA NOUS DIT...

Nelson Mandela
Nelson Mandela, emprisonné pendant vingt-cinq ans comme opposant au régime de l’apartheid, nous dit:

"La rancune est un poison que l'on boit soi-même en espérant que l'autre va en mourir"


Et aussi, plus tard :

"Tout parait toujours impossible, jusqu'à ce que ce soit fait"



Nelson Mandela


vendredi 20 septembre 2013

Comment retrouver l’estime de soi, par Christophe André


Christophe André est médecin psychiatre et exerce à l’hôpital Sainte-Anne à Paris, au sein du Service hospitalo-universitaire de Santé mentale et de Thérapeutique. Il est spécialisé dans la prise en charge des troubles anxieux et dépressifs.Il est l’un des chefs de file des Thérapies comportementales et cognitives en France, et a été l’un des premiers à y introduire l’usage de la méditation.
Chargé d’enseignement à l’Université Paris X, il est auteur de nombreux livres de psychologie à destination du grand public.

Aujourd’hui, nous vous proposons cette vidéo de Christophe André consacrée à l’estime de soi :


lundi 16 septembre 2013

CITATIONS POUR UN BON MENTAL

Voici quelques citations que j'aime à relire pour m'aider à garder un bon mental:

"Les gens qui réussissent savent augmenter le volume des événements féconds et baisser le son de ceux qui ne le sont pas". Anthony Robbins.

"L'échec n'existe pas. Seuls existent les résultats". Anthony Robbins.

"Tout événement se produit pour une raison précise et doit nous servir". Anthony Robbins.

"Ne cherchez pas la faute, cherchez le remède". Henry Ford.

"L'esprit est son propre lieu, et en lui-même peut faire de l'Enfer un Ciel et du Ciel un Enfer". John Milton.

"Nos doutes sont des traîtres et nous privent de ce que nous pourrions souvent gagner de bon parce que nous avons peur d'essayer". Shakespeare.

"Il n'y a pas de bon et de mauvais, il y a: entraîné et pas entraîné". Extrait du film: "Man on fire".

L'ECHEC N'EXISTE PAS

L'ECHEC N'EXISTE PAS. SEULS EXISTENT LES RESULTATS.

C'est ce que pensent les gens qui réussissent, dans les affaires, le spectacle, le sport, etc.

Voici l'histoire d'un homme:

Il fit faillite à l'age de 31 ans,

il fut battu aux élections législatives à 32 ans,

fit de nouveau faillite à 34 ans,

vit mourir sa petite amie à 35 ans,

eut une dépression nerveuse à 36 ans,

fut battu aux élections locales à 38 ans,

fut battu aux élections du Congrès américain à 43 ans,

fut battu aux élections du Congrès américain à 46 ans,

fut battu aux élections du Congrès américain à 48 ans,

fut battu aux élections du Sénat à 55 ans,

ne put s'inscrire aux élections à la vice-présidence à 56 ans,

fut battu aux élections du Sénat à 58 ans,

fut élu PRESIDENT DES ETATS-UNIS D'AMERIQUE à l'age de 60 ans.

Cet homme s'appelait Abraham Lincoln.

Les gens qui réussissent ont tous ce mental: "Il n'y a pas d'échec, il n'y a que des résultats".

mercredi 11 septembre 2013

LA BONNE FAÇON DE DIRE: NON

La bonne façon de dire non, c'est celle qui ne crée pas de rancœur, parce qu'elle n'est pas agressive.


Cela fonctionne aussi pour les mauvaises nouvelles et les critiques.

Voyons d'abord les mauvaises façons, qui sont malheureusement les plus employées:

1/ La façon agressive, on dit "non" de manière brutale.


Pas besoin de longs commentaires, cela crée une rancune, parfois même une humiliation

2/ La façon passive/agressive.


C'est la manière la plus utilisée par ceux qui veulent éviter d'être agressif, mais s'y prennent mal.

Par exemple:

Message téléphonique: "veux-tu venir au cinéma avec moi demain?"

Vous ne voulez pas dire non, alors vous ne rappelez pas.

Si on vous demande, vous mentez: "je n'ai pas eu le message", "je n'ai pas eu le temps de te rappeler", "pas de chance, c'est juste le soir où j'ai piscine".

Ne croyez pas que votre interlocuteur soit dupe. C'est une démarche agressive qui crée une frustration.

Dans certain cas, ça se perçoit comme du mépris, avec des pensées du genre: "il, ou elle, ne m'aime pas", etc.

3/ Et pourtant, la méthode non-agressive existe. Elle a été mise au point par un chercheur américain.
Pour la mémoriser, retenez le mot: S P A C E E.


S/ Source

L'interlocuteur est-il bien le responsable de votre critique ?

P/ La place

L'endroit est-il approprié pour parler. (Si c'est une critique, ne le faites pas devant tout le monde, ou quand la personne est préoccupée)

A/ Amitié 

C'est la partie essentielle. Rappelez votre relation amicale avec la personne. Dites un mot gentil et positif, qui bloquera la pensée "il ne m'aime pas", et mettra la personne en état réceptif et confiant.

C/ Cause

Exprimez votre refus, ou critique de façon OBJECTIVE. Dites la Cause, même si c'est juste que vous n'avez pas envie d'aller au cinéma. Vous assumez, c'est très bien et très recevable.
Si c'est une critique, dites-là humblement avec des, "il me semble que", "je peux me tromper", "est-ce que ça ne serait pas mieux de" (des présidents des états-unis ont utilisé cette façon de s'exprimer, si un président peut le faire, alors vous aussi)

E/ Emotion

Exprimez votre Émotion. Parlez avec votre cœur. "j'espère que tu ne m'en voudras pas", etc.

E/ Espoir

Espoir, "j'espère qu'une prochaine fois nous pourrons aller au cinéma", "j'espère que nous n'aurons plus à rencontrer cette situation", etc.

Ca demande un peu de travail au début, mais quand vous aurez assimilé S P A C E E vous serez enfin LIBRE.
Car vous n'aurez plus d'embarras entre, accepter à contrecœur, ou créer un ressentiment.

Pensez que les hommes politiques qui critiquent maladroitement ont un mot pour ça. Ils appellent ça: "l'effet boomerang".

Toute critique, tout refus, déclenche un effet boomerang, parfois imperceptible, mais toujours présent.

S P A C E E est la méthode de critique et de refus qui ne crée aucun effet boomerang.

Vous êtes enfin libres de pouvoir tout dire amicalement.

mardi 10 septembre 2013

UNE EXPERIENCE ETONNANTE

Voici une expérience qui prouve à quel point il est important de s'entraîner, d'échouer, de recommencer, pour avoir de bons résultats.

Un professeur de poterie a eu l'idée de partager sa classe en deux.

A la fin du semestre, la première moitié est notée sur la qualité d'une poterie par élève.

La seconde moitié (et c'est là que c'est intéressant) n'est notée que sur le poids de poterie.
Peu importe le look, on met les poteries de l'élève sur la balance, on les pèse, et plus c'est lourd, plus la note est élevée.

Le résultat incroyable que l'on obtient, année après année, est toujours le même:

Les poteries au poids sont MEILLEURES !

Vous connaissez le dicton: "c'est en forgeant qu'on devient forgeron".

Pour réussir, il faut recommencer, et recommencer encore, et c'est comme ça que ça marche.

Si vous voulez faire une belle poterie, faites en dix, ou cent, ou mille, et alors il y en aura une qui sera magnifique.







lundi 9 septembre 2013

LA REALITE N'EST PAS LA REALITE

"La réalité n'est pas la réalité".

Nous vivons notre perception de la réalité, et non pas une réalité objective.

Exemple simple:

Réalité objective: grand soleil, 30°C, vitesse du vent 10kms/h.

Réalité vécue:

1/ Il faut trop chaud, on crève, c'est l'enfer.

2/ Ouah, c'est génial, il fait hyper beau.

Etc. vous comprenez le principe, n'est-ce pas ?

Des gens qui "devraient" se sentir malheureux sont pleins de joie de vivre, et d'autres, qui ont tout ce qu'on peut envier, sont malheureux.

Qu'y a-t-il d'extrêmement intéressant dans cette idée ?

La réalité vécue n'est PAS la réalité objective.

Par conséquent, si vous changez L'IDEE vous changez VOTRE réalité.

C'est ainsi que l'on peut vivre une vie misérable ou une vie heureuse et extraordinaire avec la même réalité objective.

Dit autrement: 

"Si vous êtes maître de vos pensées, vous êtes maître de votre réalité".


Le plus beau, c'est que ça s'apprend et que c'est accessible à tous.


TROP MANGER TUE

Une expérience scientifique très intéressante a été menée sur des rats de laboratoire.

Le premier groupe A, a eu de la nourriture à volonté.

Le second groupe B, a eu de la nourriture à volonté, mais une diminution des protéines de 50% .

Le troisième groupe C, a eu un rationnement de nourriture. Le nécessaire pour vivre, rien de plus.

A la fin de l'expérience on obtient le résultat suivant:

Groupe A, nourriture à volonté ; 100% de décès. Ils sont tous morts.

Groupe B, diminution des protéines ; 50% de décès. On en conclut le danger des régimes riches en protéine. Duncan etc. Le corps n'a besoin que de 50g de protéine par jour. Un oeuf suffit largement. Parfois les protéines présentent dans les pâtes et le riz, peuvent atteindre 50g.

Manger trop de protéines est toxique, avec pour conséquence une réduction de l'espérance de vie.

Groupe C, rationnement de nourriture au strict nécessaire ; 03% de décès. 97% des individus sont en vie, et même en forme.

Manger en quantité raisonnable, et sans excès de protéine, vous apporte santé et longévité.

samedi 7 septembre 2013

POUR MAIGRIR, LES REGIMES NE SONT PAS LA MEILLEURE SOLUTION

"Le problème n'est pas le problème".

Les régimes tiennent rarement sur la durée, beaucoup sont dangereux et créent des effets de yo-yo.

Je recommande, en me basant sur la lecture des plus grands nutritionnistes au monde, et sur mon expérience personnelle, de suivre le processus suivant :

1/Comprendre simplement comment fonctionne la digestion.

2/ Comprendre que l'on peut manger de tout, à CONDITION de gérer les associations d'aliment avec la plus GRANDE précaution.

3/ Ensuite, de suivre ces règles simples, en mangeant à votre faim, sans aucune frustration.

Au bout de deux semaines environ, votre corps sera soulagé, votre énergie augmentera de façon importante, vous vous lèverez plus facilement le matin et...oups, j'oubliais, vous perdrez du poids si vous en avez trop.

En complément, il existe des méthodes pour se déshabituer de certains excès boulimiques de gourmandise, sans frustration.

LES FEMMES DANS LE MONDE DU TRAVAIL


Statistiquement, les observateurs notent que les femmes manquent souvent de confiance en elles dans le monde du travail.

C'est dû au fait que les entreprises ont été conçues par des hommes pour des hommes, et que les femmes sont gênées par une structure inadaptée à leurs besoins et à leurs valeurs.

Les psy reçoivent des patientes qui ont fait des burn-out à vouloir se comporter comme des hommes jusqu'à s'en rendre malade.

Les femmes sont moins payées à travail égal.

On constate que les hommes réclament leur augmentation, alors que statistiquement, les femmes attendent leur promotion comme un signe de reconnaissance qui doit venir spontanément de l'employeur.

La féminisation de la société est en marche, mais la route est longue.

On peut gagner immensément de bien être et d'efficacité en travaillant sur la confiance en soi.

Le bonheur est à ce prix.

LA DIFFERENCE QUI FAIT LA DIFFERENCE.

Les études nous apprennent d'où vient la différence qui fait l'élite, les champions, dans tous les domaines.

Il y trois zones d'apprentissage:


1/ trop facile (inutile)
2/ optimale
3/ trop difficile (impossible)

Jusque là, rien de très révolutionnaire, n'est-ce pas ?

Ceux qui réussissent travaillent beaucoup.
Beaucoup de gens qui travaillent beaucoup ne sont pas des élites ou des champions.

Alors ?

Les scientifiques démontrent que si n'importe quelle personne est assez acharnée, motivée et disciplinée pour travailler TOUJOURS le plus haut dans la zone optimale (2), c'est à dire toujours à la limite de l'impossible, alors au bout de dix ans, cela devient une élite, et on dit: "il est génial, elle est géniale".

Toutes les études concordent.

Le golfeur Tiger Woods écrase sa balle dans le sable et la frappe deux cents fois, parce que c'est difficile.
Ça fait de lui un champion du monde.

Mozart, Michael Jackson, sont tous des exemples d'un travail extrêmement poussé dès leur plus jeune age (exigé par leur père dans ces deux exemples).

C'est un choix, pas un don inné.
Tout le monde peut décider de le faire, et y arriver.